lundi, septembre 19, 2005

Correspondance du Nautilus 1 : L'ouragan Katrina – nos expériences


(Source : NDS, 19 septembre 2005)
Deux jours après que l'ouragan Katrina eut frappé la Nouvelle-Orléans, le magasin de Wallgreen à l'intersection des rues Royal et Iberville était resté fermé à clé. Le section des produits laitiers était visible derrière les vitrines. Cela faisait 48 heures sans éléctricité et sans eau courante. Le lait, les yaourts et les fromages étaient en train de pourrir sous une chaleur de quarante degrés celsius. Les propriétaires et les gérants avaient enfermé la nourriture, l'eau, les couches et les ordonnances et fui la ville. Devant les vitrines de Wallgreen, la faim et la soif des residents et des touristes grandissaient... [courrier complet]

1 commentaire:

Anonyme a dit…

Sur la recrudescence des cyclones

Nous constatons les dégats: voir les débats engagés à l'occasion de critique sur les
pratiques d'aménagement sur les Effets de Terre sur Précieuses précisions et ses suites...

Sur les préoccupations de certains après Katrina, un post intéressant de Denis :
Katrina, patronne des lobbies.

Sur les cyclones, je lui laisse le mot de la fin :

«La saison cyclonique de l'Atlantique a confirmé ses promesses. Avec l'apparition de la tempête Wilma, qui fait route pour l'instant vers le Yucatan, l'année 2005 ira s'inscrire dans le livre des records. Provisoirement, avec un nombre de tempêtes, 21, égal à celui de 1933, à une époque où les météorologues ne leur donnaient pas encore de petit nom. Et une première en perspective puisque la prochaine tempête tropicale à se former ne portera pas de prénom, faute de combattants. La liste est vide, et il faudrait donc recourir à l'alphabet grec si d'aventure Wilma devait être suivie d'ici la fin novembre...» Denis Delbecq, le 17 octobre 2005
Source & suites:Wilma reine des caraïbes.

Toujours dans «Coup de chaud sur la planète».